« Sweet Home » est une série Netflix avec Song Kang, Go Min-si et Lee Jin-wook.
La série de science-fiction la plus populaire en Corée du Sud de ces dernières années s’appelle « Sweet Home » et les raisons sont évidentes : imagination débordante, rythme effréné et monstres, beaucoup de monstres.
L’industrie du divertissement coréenne a réussi à se connecter avec un nouveau public : que ce soit avec le K-Pop ou ces séries Netflix, les nouvelles générations regardent vers l’Asie dans ces productions qui surprennent et offrent un rythme de jeu vidéo et des intrigues différentes de celles auxquelles nous sommes habitués.
« Sweet Home » vient confirmer cette tendance qui, déjà reconnues par beaucoup, devient une réalité : avec une intrigue qui brise les schémas, un rythme effréné, cette troisième saison confuse offre des effets à foison dans une série très proche du monde des jeux vidéo, tant en termes d’intrigue que de rythme narratif.
La série est pleine, très pleine de musique apocalyptique, comme si Carf Orff avait composé la bande sonore. Visuellement, c’est pareil : rythme, changements constants de plans, combats, sang et beaucoup de monstres dans une série que vous ne pouvez pas arrêter de regarder.
En conclusion, « Sweet Home » est une véritable démonstration de goût pour le chaos et le mouvement, pour le changement constant de plans et pour l’impact à chaque scène sur le spectateur, en poussant l’adrénaline juvénile à ses limites ultimes.
Notre avis : C’est une série qui regroupe toutes les nouvelles tendances et fait une incroyable combinaison : zombies, monstres, apocalypse et toute l’excellence de l’industrie coréenne qui, avec son rythme et sa compréhension des goûts des jeunes, parvient à régénérer et à captiver une nouvelle génération de cinéma et de séries passionnées par les jeux vidéo.