« The Park » Critique du film : Un petit bijou de film de série B

The Park
The Park

The Park est un film écrit et réalisé par Shal Ngo avec, entre autres, Carli McIntyre, Billy Slaughter, Laura Coover et Carmina Garay.

Un postulat intéressant, différent, bien exécuté, mais avec un esprit littéraire sous-jacent. Et avec une histoire à raconter et des personnages à développer.

Les films de série B n’en sont que meilleurs, n’est-ce pas ?

L’intrigue

Dans un futur dystopique, un virus élimine les humains dès qu’ils atteignent la puberté. Il ne reste plus que des enfants. C’est l’histoire d’un groupe de jeunes dans un parc qui luttent contre leur propre nature.

À propos du film

Une bonne petite surprise sous la forme de Lord of the Flies dans son intrigue et avec une touche évidente de The Purge dans son esthétique. Un film qui tire le meilleur parti de ses acteurs, qui sait tirer le meilleur parti de son esthétique et de son intrigue et qui, tout en étant intéressant dans sa prémisse, sait se prendre au sérieux, avec juste ce qu’il faut, mais sans être trop transcendant.

The Park
The Park

Beaucoup d’idées esthétiques, bien combinées dans une dystopie différente qui sait comment entrer dans l’intrigue apocalyptique et, en même temps, en sortir en termes de traitement.

Le Parc est différent, imaginatif et réussit, avec pratiquement rien, à créer un film, une atmosphère et une histoire de « ce rien » qui, à la fin, est plus que transcendante : la lutte pour rester dans ce Neverland dystopique.

Les petits acteurs sont phénoménaux, et on peut dire que, de nos jours, ils sont tous (ou presque) des étoiles hollywoodiennes.

Félicitations aux créateurs de ce film qui nous a vraiment surpris dans tous ses aspects et qui montre que, avec presque rien, on peut aussi faire de bons films.

(Et l’inverse aussi).

Profitez-en.

The Park
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