The Devil Comes at Night est une production canadienne mise en scène par Scott Leaver.
The Devil Comes at Night est l’un de ces films de série B qui propose (ou prétend proposer) une nuit de cauchemars, cette fois avec des cannibales locaux.
Si vous en avez vu quelques-uns et que vous n’avez plus peur facilement, ce sera un film qui passera dans vos vies sans avoir grand-chose à dire et sans remplir vos vies.
L’intrigue
Un boxeur raté à la recherche de son héritage doit lutter pour sa vie lorsqu’il est piégé dans la ferme de son défunt père par une secte cannibale locale.
À propos du film
Une série B faite en série, une série B qui ne marque pas les esprits et qui ne joue pas avec ses scènes morbides. Elle est bien réalisée et les interprétations donnent ce que le scénario donne, c’est-à-dire assez peu, collant au genre et ne voulant pas échapper aux clichés.
La secte locale (cette fois de cannibales, miam, miam, miam) aurait pu être plus jouée après avoir vu le film, et pourtant le réalisateur, Scott Leaver, opte pour un récit plus formel de suspense et de terreur presque psychologique. Ce type sait mettre en scène, mais le produit choisi pour ses débuts ne lui permettra pas de toucher un large public. Qu’importe, il a du talent et beaucoup de temps devant lui.
C’est un bon début, et l’histoire est bien racontée, mais en fin de compte, elle ne parvient pas à échapper à la norme ou à se démarquer.
Notre avis
Dans son genre, un film acceptable qui ne sait pas se démarquer ou prendre des risques, qui se contente de se conformer à un genre qui s’est déjà trop souvent contenté de se conformer à l’établi.