Étrange et cool : Donnie Darko (2001). Critique

Martin Cid Martin Cid
Donnie Darko

Pour tous ceux qui n’ont pas vu ou entendu parler de ce film : je vous envie, parce que vous allez voir quelque chose de totalement nouveau et différent, et ce n’est pas quelque chose qui arrive tous les jours. Donnie Darko est un film plein d’imagination, de fantaisie et d’idées passionnantes qui nous emmène sur des montagnes russes à travers un trou de ver.

Il met en scène Jake Gyllenhaal.

L’histoire de Donnie est celle d’un garçon mentalement déséquilibré qui, après avoir sauvé sa vie, commence à voir un homme mystérieux et effrayant déguisé en lapin. Non, ce n’est pas le joyeux lapin des piles, mais, quelle que soit leur durée, il lui donne une date pour la fin de l’histoire. Une date exacte avec des jours, des heures, des minutes et des secondes.

Le film est plein de fantaisie, d’imagination et de créativité, un passage dans l’imagination à travers l’esprit créatif d’un adolescent brillant mais désolé. Au cours des 28 jours qui le séparent de sa fin, nous aurons la chance de l’accompagner dans un voyage dans l’incohérence des rêves et le rêve d’être éveillé comme dans un devenir lysergique, dans l’absurdité d’un voyage dans le temps qui s’effondre.

Donnie Darko est un grand film à ne pas manquer. Une œuvre qui est déjà en train de devenir un classique dans ce genre que l’on appelle les « films psychologiques », qui nous perdent sur les chemins de l’étrange, du grotesque.

Un chemin vers l’insignifiance de la poétique macabre.

Quatre étoiles et demie.

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